vendredi 30 mars 2012

Circle Pad Pro

     Attendu pour profiter comme un bon gaucher de Kid Icarus Uprising, le circle pad pro m'aura fait douter de son utilité jusqu'au bout... Quand est-il une fois entre les mains, et autour de ma 3DS ?
     Finalement pas trop moche, l'accessoire un peu plastoc de la 3DS se marie très bien avec ma console noire édition Zelda... Mais je pense aux pauvres malheureux et malheureuses qui possède une 3DS d'une autre couleur... Ok, c'est pas fait pour le laisser tout le temps sur la machine, mais c'est au moins ça de pris pour ceux qui l'ont en noire. L'instrument est léger (ça ne rajoute pas beaucoup de poids à la console) et le joystick secondaire est de bonne qualité ainsi que les gâchettes supplémentaires. Il me tarde d'y glisser ma 3DS !!! Une fois la console dedans, elle y tient bien ! Un système de coussinet intégré la cale bien, ça ne bouge pas. Les 2 joystick se trouve à la même hauteur et les gâchettes s'agencent bien elles aussi (pour la gauche seule une ZL, et la droite on se retrouve avec 2 R et une ZR en plus).  La forme de la 3DS devient alors très ergonomique, peut-être moins pour les petites mimines, mais pour moi ça colle au poil, je vais peut-être même le laisser pour d'autres jeux et voir si mes mains y seront moins courbaturées !!! Je vais faire à mon tour la même critique que tout le monde, on n'a par contre plus accès au stylet si il est rangé et on ne peu plus changer de jeu... mais bon c'est pas non plus trop grave, il suffit de s'y prendre à l'avance ! Me vient aussi la question de l'autonomie de la pile qu'on y intègre (fournis par Nintendo dans la boiboite !!! ça c'est trop gentil), on verra en jouant longtemps... peut-être faudra-t-il investir dans des piles rechargeable AAA.
     Acheté spécialement pour m'adapter au mieux à Kid Icarus (que j'avais lâchement abandonné faute d'une maniabilité pour les gauchers... mais je reviendrai dessus dans un test prochain...), mes premières impressions dans le jeu son très bonne, le circle pad est reconnu directement par le jeu, on fonce dans un niveau direct, et là, le jeu re-vie pour moi, plus de main droite crispée sur mon stylet, ma main gauche fait des merveilles ainsi que le joystick du circle pad. Les mouvements de celui-ci sont aussi fluide que l'original, et la gâchette supplémentaire permet à mes grosse main de se poser comme il faut. DE plus, moi qui pensait trouver embêtant le dé-centrage vers la gauche de l'écran par rapport aux touches, et bien... on y fait même pas gaffe !!! 
     Pour conclure, en dépensant 20 euros, je trouve une bien meilleur qualité de jeu pour au moins 1 jeu... je vais me presser de le tester aussi sur Resident Evil : Revelation, mais je pense qu'il y sera bien accueillis (à moi le déplacement latéraux en tirant, YOUPI !!!)  en attendant qu'il me serve pour Kingdom Heart : Dream Drop Distance, qui soit dit en passant vient de débarquer hier sur le sol Japonnais...

jeudi 15 mars 2012

Mass Effect 3

     Fin de la trilogie Mass Effect, le troisième épisode termine en beauté pour pleins de bonnes raisons, même si on regrettera certains choix de BioWare  au niveau de certains élements de scénario. 
     Pour connaitre mon avis sur certains éléments, je renvois à mon post sur le test de la démo, le jeu graphiquement inchangé par rapport à elle, et pour une partie du gameplay que j'y décrit.

http://jackjoueauxjeuxvideo.blogspot.com/2012/02/demo-de-mass-effect-3.html

     Parlons maintenant de tout ce qui m'a plu et moins plu dans ME3. Bien évidemment je commencerai par le fait de pouvoir (encore un fois, comme dans le 2) importé le Shepard que l'on promène dans la galaxie depuis le premier opus, si l'on a bien gardé sa sauvegarde et si on fait le jeu sur Xbox360 (pas de Mass Effect 1 sur PS3). Mon Shepard à moi, est un soldat depuis toujours, et garde trait pour trait le visage du héros charismatique de BioWare. Voilà pour le début du soft, où j'aurai pu changer ces éléments, choisir un autre "job" pour mon héros, et une nouvelle tête (mais je ne le ferai jamais, je trouve que les autres visage de l'éditeur de personnage le font ressembler à du plastique dégueulasse... mais bon...). Les informations chargées, c'est partie pour commencer le jeu avec le niveau de Shepard dans le 2, ainsi que la même évolution de ses capacités (pareil pour l'équipage), mais pas d’inquiétude, la réattribution des points dans le vaisseau (le Normandy SR2) ne coute rien (en tout cas la première fois...).
     Finalement, moi qui croyait crapahuter sur Terre une bonne partie du temps, pas du tout, c'est au 4 coins de la galaxie que Shepard se lance encore une fois, cette fois pour rassembler la galaxie contre la menace Moissonneur (grosse machine vivante et détruisant la vie organique tous les 50000 ans) et de Cerberus (association de mal malfaiteurs, pour qui "la fin justifie les moyens" quand ça concerne la suprématie de l'humanité sur les autres espèces). Pas une mince affaire de rassembler des espèces qui bien souvent  se font la guerre depuis toujours... et pourtant il faudra bien. Même interface pour voyager dans l'espace que dans le 2, une belle carte de la galaxie nous envoi avec notre vaisseau à travers des relay cosmodésique et des bons dans l'espace (et des chargement de 30 secondes à chaque fois... il faut bien finir toutes les zones quand on y est et pas faire 36 aller-retour, où la moitié du jeu passera en chargment...). Seul havre de paix dans l'espace, la citadelle, lieu de rencontre des réfugiés et autres politiciens, elle est le point de départ de beaucoup de quêtes annexes, et lieu de rencontre de notre équipage, ou ancien allié, pour se lancer dans un peu plus de relations "intimes" avec eux.
     Notre équipage d'ailleurs, ma plus grande déception du jeu, pas de grand rassemblement des vétérans, sans donner plus de détail, 4 vieux de la vieille (rencontré dès l'épisode 1), et plus ou moins 2 nouvelles recrus, dont un militaire arrivé à mon gout comme un cheveux sur la soupe... Où sont passé les 12 équipiers du 2 (avec les DLC)... Et bien ils ne sont pas bien loin, au cours de nos pérégrinations pour rassembler les forces et ressources de la galaxie, on tombera régulièrement sur de vieilles connaissances. BioWare aurait voulu par le fait de diminuer les recrus, augmenter le rapport humain entre les personnages jouables dans notre équipe... mouais !!! Enfin ça supprime tous les nouveaux personnages de l'épisode 2 de notre équipe... Tirer un trait sur Jack, Miranda, Mordin, Légion et les autres. Le coup est rattrapé avec un scénario en béton en se qui concerne les retrouvailles, je peux vous dire qu'on passera de la joie de les revoir, à la peine de les quitter... Tout ça pour dire que j'aurai aimer un équipage composé de tous mes anciens compères, mais on a pas toujours ce que l'on veut... On finis tout de même par trouver son bonheur parmi les choix proposés, et puis nos alliés de hier et d'aujourd'hui ne son jamais loin pour un brin de causette ou pour verser une petite larme...  
     Pour parler du scénario, encore une fois celui-ci sera guidé par les choix moraux de notre héros, conciliant ou pragmatique, celui-ci aura parfois des choix difficiles à faire pour arriver au bout... On nous l'explique bien dans le jeu, pour gagner il faut souvent faire des sacrifices... En ce qui concerne les choix des autres épisodes, ils prennent ici toutes leur importance et plusieurs fois dans le jeu, je me suis dis "Mais et si j'avais fait autrement dans le 1...". Vous imaginez de ce fait la rejouabilité énorme des 3 opus (qui n'en font qu'un...) et aussi la quantité astronomique de combinaison de nœuds scénaristiques, et pour ça BRAVO BioWare. Tout ça donne une telle profondeur au jeu, et une telle immersion, qu'on essai au mieux de plonger dans nos souvenir pour se rappeler ce qui c'est passer 2 ans plus tôt, qui à ton épargner ou éliminer, qui me permettra maintenant d'augmenter mon potentiel offensif contre les grands vilains. Les alliances se créent ou pas dans cette opus, à notre bon vouloir, enfin celui de Shepard. On avance ainsi dans l'histoire (très vite d'ailleurs, on ne voit pas le temps passer, pas de moment creux ou de ralentissement de l'histoire, et ça c'est top), en donnant à la galaxie un espoir de s'en sortir face à la menace en rassemblant à droite et à gauche, y compris chez les plus improbables alliés. Shepard est aussi présenter ici face à ses angoisses et ses doutes, guider seulement par ses propres choix, plus personne pour lui dire quoi faire, pas de conseil galactique à qui obéir, pas d'homme trouble qui nous donne des liste de choses à faire. Ces choix et ces craintes que l'on voit à travers de courte phase de rêve un peu torturé et sublime. Autre regret, mais je ne vais pas trop en dire, ça concerne la fin du jeu... J'aurais tellement aimé que mes choix dans les épisodes se remarquent dans l'événement final, quand tout se termine... savoir ce que chacun de mes choix, de mes rapports aux autres à donner en "sauvant" la galaxie. Une fin un peu bâclé ? Allez voir ce qu'en dise les internautes !!! 
     Revenons un peu à l'action, parce que tout n'est pas diplomatie dans cet opus, bien au contraire. Shepard est agile et il nous le montre bien, même si se mettre a couvert est parfois une torture quand notre héros se mettra a courir comme un bœuf au lieu de s’accroupir, ou s'accroupira au lieu de sauter par dessus un obstacle (le bouton A sert à faire tout ça...). Mais on aimera les roulades avant, arrière et de côté, et puis au final le coup au corps-à-corps, c'est plutôt pas mal !!! Durant les phases de combat, on aura comme d'habitude accès à notre panoplie de pouvoirs et capacités, ainsi que ceux de nos allié, pour se sortir des situation difficile. Le système d'évolution des capacités est simple mais efficace. On retrouve aussi la customisation de nos armes et un choix qui influence plus nos statistiques dans le choix de nos pièces d'armures. Une fois au cœur des combats, il faut faire le bon choix d'action, pas le temps de réfléchir, il faut être sûr de soi (l'aide de l'adrénaline du soldat permet de prendre un peu plus son temps pour balancer une grenade en pleine poire aux méchants...). Le "bestiaires" n'est énorme, mais permet tout de même de renouveler l'action si on a à faire à des soldat de Cerberus ou des créatures moissonnées. Mais ici, plus de récolteurs, et plus de combat contre des Turiens, ou Assari rebelles, contre eux c'est la diplomatie qui règne. En tout cas, BioWare a voulu nous donner la frousse cette fois, les créatures moissonnées sont toutes plus morbide les unes que les autres, et c'est très réussi. Je peux vous dire qu'on aime pas particulièrement se retrouver face aux furies (Assari moissonnée...) tant elles sont vicieuses et dégueu... et surtout incroyablement chiante à tuer !!!
     Autant le monde de Mass Effect est riche et complet, autant la sensation de se sentir proche de tous ses alliés est forte dans cette opus. De toute la série, c'est le plus épique (grâce aussi à une musique superbe...), le plus fort en choix draconien (même si choisir entre Ashley et Kaidan dans le 1 reste un événement marquant de la série...), et on pèse ici les conséquences de tout nos actes. On crée au cours des 3 jeux des liens entre des personnages comme on le souhaite, alliance, amitié, histoire d'amour (pour la première fois homo dans un Mass Effect français... aaaaah Kaidan, je t'ai enfin !), tout ça pour conclure un chapitre marquant et unique du monde du jeu vidéo, et en plus ça sent bon les clins d’œil à la grande Science-Fiction, de StarWars à Alien en passant par Contact et Starship troopers, Mass Effect et le 3 en particulier est un "film" de Science-Fiction très réussi, qu'on est extrêmement triste de voir se terminer, mais heureux de savoir que Shepard à enfin "gagné"... 


mercredi 14 mars 2012

Fire emblem

     Certaines séries de jeux vidéo, passent plus inaperçues que d'autre, Fire Emblem en fait partie à mon avis, peut-être à cause du type de jeu et de l'apparente facilité qu'on pourrait lui prêter. Malheureusement, c'est passer à côté d'un des meilleurs RPG, enfin Tactical-RPG, proposé sur différentes plateformes de Nintendo. Sortie pour la première fois en France sur la petite Gba, ça a été une révélation pour moi, je me suis mis à aimer déplacer des unités sur des petites cases dans un univers d'héroic-fantasy. Depuis, je ne loupe aucun des Fire Emblem sortie depuis 2004, car il commence a y en avoir un petit nombre, deux sur Gba, un sur GameCube, sa suite sur Wii, et un épisode (remake du tout premier, jamais sortie du Japon, sur Nes) sur DS, et un nouvel épisode que j'attends avec impatience sur 3DS. Au Japon, le compte est plus long, avec 6 jeux en plus que chez nous (les veinards...) certains que l'on peu acheter sur console virtuel Wii. Même si d'autres jeu de cette catégorie existe, comme Shinning Force, ou Advance War, c'est à l'emblème du feu que je reste fidèle pour plein de raisons...
     Le système est simple, un grand damier pour chaque chapitre a traverser, des alliés et ennemis qui se déplacent chacun leur tour d'un nombre de cases définies, des classes d'unités variés avec chacune des forces et des faiblesses, des armes et affinités différentes, le but étant d'atteindre un objectif (battre tous les ennemis, atteindre une case en particulier), le tout dans un univers souvent riche en péripéties militaire, nation perdue, envahisseur voisin, guerre civile... et bien d'autre, sans oublier un peu de magie, de complot, et de vilains aux idées noires... Toujours un héros qui n'a pas vraiment demandé à ce que tout ça lui arrive, mais qui ne prendra jamais son rôle de leader, et de redresseur de tord, à la légère, et menera une nations voir plusieurs à la victoire. Dans les différents jeux, le Fire Emblem est un artefact magique, toujours différent, les univers des jeux étant différents à chaque fois, sont utilité sera donc diverse et varié mais jamais en lien avec le gameplay.
     Le point fort de Fire Emblem, c'est son character design très réussi (sauf exception DS...) pour donner aux héros des aventures du charisme et de la classe, peut être certain diront, au détriment de graphisme un peu "moche" pour les phases de plateau et de combat, moi je dirai sobriété et simplicité !!! Ce que ça signifie aussi, c'est que le jeu repose justement sur ces unités (ils ne vont pas leur donner du charisme pour servir à rien). On doit ainsi, les recruter, les former, les faire évoluer... Du coup on s'y attache, et c'est là que Fire Emblem fait une énorme différence, il faut y faire plus qu'attention, car au détour d'un combat mal préparer ou un déplacement un peu trop ambitieux sur le front et c'est la mort assurer, et même si on est dans un jeu, quand je dis la mort, c'est la mort. Vous pouvez dire adieux à votre soldat tombé au combat. Encore une fois, soit on accroche, soit on se détourne de ce système de combat plus que stratégique. Les unités les plus faible doivent toujours être protéger ou très bien anticiper leur mouvement et attaque.
     Le gameplay repose donc sur l'anticipation des combats, pour se faire rien de tel qu'un peu de statistique avant combat pour se faire une idée. Chaque unité ayant ses propres capacité d'attaque, de défense, de vie, de vitesse, on peut avant chaque combat avoir un peu d'information sur le déroulement du combat et donc revenir sur ses pas au moindre doute (Tiens, j'ai 10% de chance de toucher mon adversaire... bon bah je fonce alors... ou pas !!!). Bien évidemment un combat gagné rapporte des points d'expérience qui permettent la monté en niveau et en augmentation de capacité, RPG oblige. C'est donc a nous de bien juger qui sera à même de gagner tel ou tel combat, en sachant en plus qu'en fonction de l'arme utilisée il y aura avantage pour nous ou l'ennemi. Comme dans un pierre/feuille/ciseau, on a le droit ici à épée/lance/hache, tout ça en rajoutant de la magie (indépendante des armes au niveau des avantages), capable d'attaquer aussi bien a distance que proche et des arcs pour la distance et donc pas de contre-attaque. On le voit bien, sous son apparente facilité, Fire Emblem est gorgé de subtilité qui lui on permis de forger un gameplay sûr de lui et résistant au temps !!!
     Fire Emblem de serait rien non plus sans ses classes d'unité, car chacune d'elle à un "job", alors c'est bien beau de les recruter, mais il faut aussi choisir. Est-ce qu'on prendra plusieurs cavaliers, combien d’épéiste, quel mage, quel soigneur, archer, chevalier et j'en passe... parfois des choix difficiles tant le jeu propose de combinaisons efficaces différentes d'alliés. Ce qui me ressemble moi, c'est de prendre un élément représentatif de chaque classe, chacune d'elle ayant des avantages et des inconvénients (ma chevalier pégase se déplace loin, mais elle risque de mourir à la moindre flèche...), et puis choisir en fonction de la gueule du "gars", je sais c'est pas très bien, mais si y'en a un qui me revient pas, je vais pas me le trainer pendant 25 chapitres !!! Et au bout d'un dur labeur à faire monter niveau par niveau notre chère unité adorée, on a le plaisir de la voir évoluer (oui, évoluer, comme un pokémon) et d'augmenter d'autant plus ses capacités et en se débrouillant bien la faire devenir un tueur sur le terrain, et au niveau visuel, on  a le droit à une jolie mise en scène de l'évolution et un niveau design en combat, pour bien montrer qu'on est plus fort et plus un faiblard qui meurt au moindre coup (même si je suis un magicien, je sais aussi prendre des coup... NAH !!!)
     Au bout de toute ses année, même si Fire Emblem ne brille pas autant à côté de ses illustres compagnons de série a succès, ce jeu reste un référence du RPG, certe un peu old-school, mais qui a su imposer sa marque de fabrique, beaucoup imité, jamais égalé !


mardi 6 mars 2012

Des jeux tant attendus...

Petit tour d'horizon de quelques jeux qu'on aimerait bien déjà voir entre nos mimines !!!

Fire emblem : kakusei. Sur 3DS, non daté en Europe pour l'instant, mais ce RPG-Tactique sortira bel et bien chez nous... un jour.


Kingdom hearts 3D : Dream Drop Distance. Sur 3DS, surement prévu pour l'été en Europe.

Kid Icarus : Uprising. Retour d'une icone de Nintendo sur la console portable, le 23 mars.

Dragon's Dogma. Le RPG de Capcom, Monster Hunter like (on chasse des grosses bêtes), très prometteur, prévu pour le 25 mai, sur les consoles HD.

Bioshock : Infinite. On quitte les fonds marins des premiers opus et on va dans les nuages le 19 octobre.

Resident Evil 6. Des vilains zombies par centaine, le 20 novembre.

Final Fantasy Type-0. Verra ou verra pas le jour en dehors du sol japonnais et sur nos Psp... seul le temps nous le dira.

Pokemon + Nobunaga's ambition. Peut-être jamais sur les DS Européenne, le jeu mêlant le monde des Pokémon et du jeu japonnais Nobunaga (RPG-Tactique) sortira au japon d'ici quelques mois, ainsi que le jeu Pokémon Noir/Blanc 2, qui n'a pas encore de vidéo ni même d'image.

Pas mal de bonnes choses en perspective sur les quels nous n'hésiterons pas à revenir...

jeudi 1 mars 2012

Resident Evil : Revelations

     On nous parle de retour aux sources, on nous parle de renouveau de la série, mais quand est-il vraiment de ce nouveau Resident Evil sur la 3DS de Nintendo ? Première nouveauté et pas des moindre, Resident Evil : Revelations (RE:R), inaugure les démos jouables chez Nintendo (même si celle-ci n'a qu'une durée de vie de 30 utilisations). Quelques jours avant sa sortie officiel, RE:R, nous offrait donc un avant goût de l'horreur qui nous attendait, et surtout un avant goût d'action. Dans la lignée des gameplay de Resdent Evil 4 et 5, ce nouvelle opus de la série par l'intermédiaire de sa démo, en plus de nous en mettre plein la vue, nous en met plein le joystick, ça bouge bien, ça avance bien, et surtout ça shoot bien, mais voyons cela avec le vrai jeu, que la démo ne trahie pas d'un poil étant donné que la scène de démo, n'est pas "vraiment" une du jeu.
     Commençons par éteindre les lumières, aucun bruit parasite autour de nous, et lançons RE:R...  Pour profiter de l'ambiance, il faut au moins ça, et il ne faut pas non plus hésiter à profiter de la 3D de la petit machine, car on dira ce qu'on voudra, moi je trouve ça top la 3D de la 3DS (en tout cas pour les bon jeu... Zelda, mon amour... :) et c'est plutôt réussi pour des jeux comme RE:R. Première chose quand on commence l'aventure, la cinématique d'intro joue très bien son rôle, ça introduit, les personnages principaux, le lieu, la tempête et le noir, le tout avec encore une fois une très belle qualité graphique, la 3DS nous montre ses plus beaux atours !!! Nous reviendrons après sur la qualité de l'ambiance visuel du jeu, mais ça commence fort, notre charmante héroïne, Jill, jolie conbi bleutée (moulante... c'est quand même un jeu pour le mecs, non ???), arme au poing, sous la pluie, tanguant dans le vent, ça le fait. Elle est plus vrai que nature, si on lâche les manette quelques secondes, elle s'impatiente le petite, remet ses cheveux en place, et elle ne manque pas de courage, à la première occasion c'est les mains nus, sans gant, qu'elle enfonce dans le premier cadavre louche qu'elle rencontre... Parker, le partenaire, non jouable dans les partie du jeu dans le bateau (et oui, sans en dire plus, le jeu c'est pas que du bateau fantôme et t'en mieux), a un physique bien différent des playboy de la série, Les Léon et les Chris, un peu plus de ventre, le cheveux long, mais autant de hargne au combat, et finalement quand il est a nos côtés on est quand même plus rassuré, les phases en solo, ça rajoute à l'angoisse. 
     Au niveau du gameplay, Jill (et les autres...) répond au doigt et à l'oeil, le joystick de la 3DS fait bien son boulot, les déplacements sont fluide, reste à essayer de jouer avec le pad circulaire pro supplémentaire (ce qui n'est pas mon cas...) pour se faire une idée du déplacement en tirant, qui doit être un sacré plus dans le jeu, car même si la visée est fluide (on trouve toujours la tête sans trop galéré, et en plus on peut le régler dans les options), c'est toujours bien un petit pas latéral pour en coller une en pleine poire aux méchantes bêtes pendant qu'on tire. On notera le retournement immédiat en présent B et le joystick en bas, le pas latéral avec la gâchette L, qui fait mal à la main, le tambourinage du Y pour se relever plus vite, mais si on veut rester à terre pour canarder, pas de problème, on peut aussi finir le travail assis par terre, et se n'est pas pour diminuer la monter d'adrénaline. Pour les doses d'adrénaline on prendra aussi de l'esquive, un coup de joystick au bon moment et hop on lui passe à gauche, c'est bien, mais pas facile à placer tout de même. 
     On le voit bien, c'est pas que du shoot (que l'on choisie à la troisième ou à la première personne), et on ajoutera dans cet opus à sa panoplie habituel entre flingues, couteau et herbes, le tout nouveau scanner Genesis. On scanne à tour de bras pour trouver un peu de ravitaillement, mais surtout pour scanner les monstres du chemin pour glaner des pourcentages de scan et une herbe bonus tous les 100%. C'est pas un truc de ouf, on le reconnait, mais ça met de l'ambiance (et oui encore elle) et ça stresse d'essayer de scanner une horrible bête qui nous court dessus avant de la tuer... C'est pas Metroid Prime et son scan, mais on va pas se plaindre quand une nouveauté est plutôt bien exploitée. 
     Alors cette ambiance, qu'est ce qui la rend si spéciale ? En voulant se la jouer série Américaine, Capcom réussit à nous plonger dans une aventure qu'on a envie de continuer. Le jeu coupé en chapitre, nous offre un "Previously" à chaque début de chapitre, petit medley de scènes de cinématiques précédentes et de dialogue légèrement mis en scène, on sourit, mais j'aime bien. Pour nous maintenir en haleine des sous-chapitres, ne se suivant pas forcément chronologiquement et n'ayant pas les même héros, coupent en deux les chapitres, mais on retrouve toujours notre chère Jill dans son rafiot. On le voit, le scénario permet une diversification des environnements, passant du bateau, (cale, cabine, grand escalier... les pieds dans l'eau... on voit du "pays" dans ce paquebot de croisière mal fréquenté), à une plage dégueu, des monts enneigés... c'est pas linéaire au moins et on s'y retrouve malgré tout, même si c'est pas simple de suivre le tout dans le temps. 
     Et dans tout ça, ce qui me plait le plus, c'est les "petits" détails visuels et sonores qui rendent l'ambiance vraiment flippante et immersive. Une ombre sur le mur... AAAAH... bah c'est la mienne, par la fenêtre un éclair, et de la pluie qui rentre... Un rat qui tombe du plafond... le mal de mer avec ces lampes qui tanguent... et l'image qui suit le mouvement (ça c'est vraiment bien trouvé !!!). C'est quoi se grincement, ça me stresse, et ta voix Parker pourquoi elle résonne... La musique accélère, mon rythme cardiaque aussi... AAAAAh ils arrivent !!! En parlant d'eux... moi je suis pas content... Ils sont où les zombies ??? ByeBye autochtones zombies humains, bonjour mutants humanoïdes rosés !!! Moi j'adore pas, j'adhère pas. Bon les boss rattrapent le coup, ils nous susurrent des mots "doux" alors on pardonne aux bégeux roses !!! Même si on leur doit bien des ressemblances évidentes avec nos macabés préférés, dés le début c'est bel et bien des bestioles avec lames, pointes au bout des bras, projectiles  intégrés, qui savent ramper dans les bouches d'aérations et continuer à avancer même les jambes brisées et qui nous font ch...ier dans l'eau ! Toujours avec ce déplacement typique des mort-vivant, un coup je vais lentement, un coup je fonce et hop regardes je fais un pas-chassé. 
     Comme on peut le voir, un  survival-horror vraiment tourné sur l'action, le scénario est ce qu'il est, et essai de nous amener là où... on s'attend qu'il nous amène, et parfois même on se pose des questions sur le pourquoi essayer de faire des surprises quand finalement ça sert à rien... Tiens mais il a un masque à gaz... oooouuuuh... identité secrète... tiens il l'enlève 30 minutes plus tard et on s'en fout !!! Donc, de l'action et heureusement, c'est ça qui nous tiens en haleine, on se demande à quand le prochain vilain qui nous fait courir partout en priant pour avoir assez de munitions pour le finir. En mode facile, pas trop de problème de vie, représenté non pas par une jauge de vie (rien à l'écran, à part de la peur qui dégouline...) mais du sang autour de notre héroïne (ou héros) du stresse en plus quoi, ni problème de munition. On y retrouve des armes classiques, pistolet, magnum, mitraillette, fusil de précision (mon préféré) et fusil à pompe, customisable ici par l'ajout de pièces de personnalisation (cadence de tir augmenté, dégâts supplémentaires...). 
     Pour rajouter à l'action du mode campagne, un mode commando plutôt bien fait, on retraverse les zones de jeu pour atteindre un but (une belle médaille dorée) en éliminant le plus de monstres, qui parfois se retrouvent avec des bonus de défense ou de vitesse (ça c'est les pires, des petits teigneux qui court partout...) et sans se faire tuer si possible, on y gagne argent et y débloque des missions, des récompenses pour telles ou telles actions bien menées (scanner des traces de mains, finir toutes le mode commando au rang S...), argent servant à acheter de nouvelles armes (parfois ce qu'ils appellent des rares...), nouvelles pièces de personnalisation, ATTENTION, seulement pour le mode commando !!! je dois vous dire qu'avoir un super pistolet de la mort en commando et retourner en campagne sans... ça fait mal, et en plus j'ai presque pas de munitions et les monstres ils meurent moins vite... que voulez-vous, il faut faire la part des choses, campagne ou commando !!! Tous ça pour dire : un bien jolie mode commando qui défoule !
     Alors au final, un retour au source ??? Pas tout à fait. Un renouveau ??? Plutôt oui ! C'est frais, même si ça sens le mutant renfermé, c'est beau, même si certain dirons, "c'est des environnements connus", ça fait flipper, même si dans l'action on a plus autant le temps d'avoir peur, au final pour moi ça fait un bon mélange, surtout si on ne s'attend pas non plus à l'oscar du meilleur scénario !!! Retenons surtout un dialogue qui pour moi deviendra culte entre Chris et Jessica "-Il fait un froid de canard ici. -Tu aurais du prendre ta polaire."
 
    

vendredi 17 février 2012

Allez voter le 22 Avril...

     Comment parler de jeu vidéo et d'élection présidentielle me direz-vous ??? Et bien c'était sans compter sur le jeu PC Elysée 2012, qui fera date dans le monde du jeu vidéo, surtout pour ses imitations de candidat (Marine Le Pen est plus vrai que nature et si elle pouvait rester virtuelle et plus nous emmerd...) et nous retiendrons surtout les faux noms donnés aux candidats... En 2012, votez bien, votez Laurent Norvège...

mardi 14 février 2012

Demo de Mass Effect 3

     Hier soir, c'est avec une grande surprise que j'ai découvert que depuis le 10 février nous pouvions "gagner" la démo du prochain Mass Effect (Démo dispo à tous à partir d'aujourd'hui de toute façon... alors à quoi bon mettre un lien...). Tout ça pour dire que j'ai, après 45 minutes de téléchargement, pu gouter à Mass Effect 3 et son emblématique commandant Shepard, qui soit dit en passant peut être entièrement modifier au niveau physique (mais bon moi je préfère le VRAI).
     Que se passe-t-il dans cette démo ? Tout commence par un choix, choisir si l'on souhaite foncer dans l'action ou justement prendre un peu de temps pour modifier notre commandant. On lui choisie aussi une classe, qui déterminera ses capacités futures, et ça on aime (enfin moi j'aime), un soldat, un biotique aux pouvoirs psychiques, un technologue, ou un mélange des genres. Une fois déterminé, on fonce dans le vif du sujet. 
     Tout débute par un peu de blabla, et je ne rentre pas dans les détails pour laisser du suspens à ceux qui en veulent. Graphiquement, le jeu tiens la route, les personnages sont modélisés comme dans Mass Effect 2, on a fait plus beau depuis (Final Fantasy XIII-2 par exemple cartonne à ce niveau), c'est un peu rigide au niveau du visage, ça fait un peu robot, mais par contre rien à dire au niveau des mouvements et déplacements. 
     Dés que l'action commence, j'ai appuyé sur la touche start pour accéder au menu. On retrouve le menu circulaire de base de la série, avec, et c'est ça qui m'intéresse, l'onglet commando, permettant de voir et modifier ses capacités. J'ai choisi pour ma partie en démo, le porte-étendard, mélange de soldat et de biotique. On retrouve un système d’augmentation des capacités par points accumulés lors des changements de niveau, c'est simple et efficace, on ne demande pas plus pour un RPG-action comme Mass Effect. Dans cet opus chaque capacité ouvre une petite arborescence (2 choix, c'est pas non plus un baobab...), chaque branche privilégie une des caractéristiques de la capacité. Comme dans le 2, beaucoup moins de "briques", mais chacune d'elles ont un coût qui augmente à chaque niveau de la capacité. On passe donc moins de temps à répartir ses points et c'est bien, on retourne plus vite à la castagne.
     Mass Effect c'est avant tout un jeu d'action, mais au très fortes tendances RPG, dans l'augmentation de compétences de perso, mais aussi dans les phases de dialogue qui pousse le joueur à toujours peser le bien et le mal de ses interventions et de ses actions. Quand on pense que toutes les actions du premier et du deuxième jeu (quand on garde bien ses sauvegardes...) auront une influence sur la suite, on imagine à quel point le nombre de combinaison de résolution de point de scénario est astronomique... Avez-vous tué ou nom la reine Rachnis, avez-vous sauvé le conseil de la citadelle, avez-vous laissé mourir des compagnons et lesquels, avez-vous eu une histoire d'amour... Mass Effect, c'est profond, c'est riche, et sa donne envie d'y rejouer pour tester toutes ses possibilités.
     Revenons à l'action, Shepard à le droit à un petit didacticiel pour apprendre à courir, sauter, se cacher, descendre une échelle, tirer... vous l'aurez compris, on passe vite fait et on avance. Quand les ennuis arrive, on apprend que maintenant Shepard peut foutre des mandales, et ça c'est bien (Zut j'ai plus de munitions... comment faire mal aux méchants... tiens un coup de crosse...). Mais bon on se retourve quand même plus souvent à utiliser les belles armes du future que nous propose le jeu, même si je n'ai pas pu dans la démo en voir beaucoup, je pense que l'on pourra encore en avoir une belle panoplie, plus ou moins puissante, plus ou moins tactique, et plus ou moins adapté à la classe que l'on aura choisi et qu'on pourra customiser dans cet opus. Durant la démo, on a le droit à de bien belle animation des environnements, c'est chouette, un peu austère (comme souvent dans Mass Effect), mais on est content de voir les grosses bébêtes au loin qui bougent. Et puis ça explose de partout par moment et on tombe, on glisse, on se retrouve on  ne sait plus trop où... c'est du ciné quoi !!!
     La démo est composée de 2 parties, je pense que la première correspond aux premières minutes du jeu, et la deuxième une mission arrivant après quelques heures de jeu. Pour ne rien dire du scénario, je dirais simplement qu'on est plus que content de retrouver de vieux compères qui nous avaient quittés lors du deuxième épisode. Plaisir aussi de pouvoir re-tripatouiller leurs compétences, on nous laisse au début de cette deuxième partie avec 23 points à répartir pour Shepard et 12 à nos équipiers. 
     
     Ce qu'on attend du jeu qui sortira le 8 mars, c'est savoir ce que chacun de nos potes sont devenus, pouvoir se refaire une bien belle équipe avec Liara, Wrex, Jack, Mordin, Miranda... bref toute la clique et tous les nouveaux que l'on espère aussi charismatiques et à l'histoire aussi réussis que pour les vétérans. On attend aussi de sauver l'univers, encore une fois, mais cette fois en ayant littéralement les pieds sur Terre et plus uniquement au confins de l'univers, connaitre les intentions du conseil, de cerberus et des moissonneurs... 


lundi 13 février 2012

Kingdom Hearts 3D

     Si comme moi vous adulez la saga des Kingdom Hearts, il est tant de vous mettre au courant de la prochaine sortie du tout nouveau jeu de la série, Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance. Après être passé sur PS2, GBA, DS, PSP, notre ami Sora, héros des aventures entre le monde de Final Fantasy et de Disney, débarque sur 3DS, on l'espère pour le plus grand plaisir de nos mirettes et de nos doigts frétillants. Rien de plus simple, pour en avoir un avant goût, que des petites vidéos.



     Ayant passé des heures à me promener avec Sora et compagnie dans différents mondes inspirés des univers de Disney, il est agréable de retrouver un jeu aux environnements originaux, car ce que j'aime dans Kingdom Hearts, mis à part un dynamisme des combats et d'évolution des personnages et capacités, c'est les interactions avec l'univers de Disney et de ses personnages emblématiques. Dans certains opus (GameBoy advance et Nintendo DS) il est vrai, l'impression de déjà vu de certains lieux a empêché ceux-ci de marquer les esprits comme Kingdom Hearts 1 et 2 sur PS2 ou Birth by Sleep sur PSP avaient pu le faire, ceux-ci avec un scénario bien plus profond et Dark qu'on le croit pour un jeu qui puise son inspiration dans l'univers magique de Disney. Là on sait en tout cas déjà que certains mondes inédits seront de la partie, comme Notre-Dame et son bossu, la fête foraine de Pinocchio, l'atelier de magicien de l'apprenti sorcier... De bien beaux espoirs naissent en moi à l'évocation de ces nouveautés et de l'idée de partir encore une fois à leur découverte et la découverte d'un gameplay toujours aussi riche et renouvelé. Petit bémol, il me semble que dans cet épisode, point de Donald et de Dingo à nos côtés pour nous aider... Et Sora sans ses précieux acolyte gardera-t-il autant d’intérêt ??? Même si pour la (véritable) première fois, nous serons aux commandes du très charismatique Riku, meilleur ami de notre héros, espérons que Dream Drop Distance soit une très belle Disney surprise, en 3D s'il vous plait !!!

vendredi 10 février 2012

Un jour je serai le meilleur dresseur...

     1999, un début d'année en seconde comme les autres quand en Octobre, le 8 exactement,voit le jour en France le tout premier jeu Pokémon. La fin du millénaire prend une tout autre envergure. Ils étaient des monstres de poche déjà bien connu au Japon et aux Stats, et il n'a pas fallu attendre longtemps pour comprendre que c'était une mine d'or et en faire une licence au merchandising surdéveloppé. On retiendra surtout le dessin animé et la naissance d'une icône (non, pas Psykokwak, quoi que), un certain Pikachu.
     Ni une ni deux, je me procure le dit Pokémon Bleu, acheté par mon frère à la Fnac de Rennes et envoyé par la poste dans le trou du c...l du monde, attente interminable pour poser mes mimines fébriles sur les boutons A et B de ma GameBoy (version Tank... s'il vous plait...). Mais comment en avoir eu connaissance ??? Et bien souvenez-vous... Repartez 13 ans en arrière... Si vous passiez comme moi votre temps libre entre le journal de Mickey, Picsou magazine et autres journaux jeunesses, il n'y avait d'yeux que pour eux. 3 ans que ça faisait un carton au pays du soleil levant, ça laisse du temps pour préparer leur arrivé dans le vieux monde !!! On en a bouffer en salade et en purée du Pokémon... et sur moi comme sur beaucoup, ça a eu l'effet voulu. Avec des pages et des pages dédier à leurs tronches, leurs caractéristiques, leurs attaques, leurs types, leurs nombres... Bref un carnage marketing dans mon esprit, et dieu sait que ça ne fonctionne pas vraiment sur moi normalement (j'ai même pas d'Iphone...). Et bien j'ai finis par tous les connaitre avant même de toucher au jeu et vouloir tous les attraper, comme ils disaient et continuent à nous dire.
     On en finit presque par oublier que Pokémon c'est un RPG drôlement bien ficeler. On pense à un jeu pour les petits nenfants, c'est pas faux, parce qu'ils sont tout mimi, que l'histoire est gentil, au fond les méchants sont pas si méchants, ils tuent pas les gens... Bref, c'est quand même faux aussi !!! Il ne faut pas oublier que le système de jeu est basé sur un pierre/feuille/ciseaux comptant pas moins de 15 (puis 17 par la suite) pierres, feuilles et ciseaux en sachant qu'ils peuvent en plus se combiner en doubles types, imaginez des pierre/ciseaux ou des pierre/feuille ou encore des feuille/ciseaux... Vous avez compris le coup ? Ça complique les choses, faut pas tomber dans le piège de "Zuuuut, tous mes Poké(t)Mon(ster) sont faibles face au type eau..."
     Et après comme dans tout bon RPG qui se respecte, vas y que j'ai des points de vie, des points d'attaque, de défense, de vitesse, différents pour toutes les bêtes de poche, du coup Pokémon devient le RPG qui compte le plus de personnage jouable pour faire son équipe, et je ai passé du temps à choisir ma petite équipe adorée (enfin mes petites équipes, avec à peu près 52 parties différentes)... On a commencé avec 150 (151) dans la première génération pour en être de nos jour à 649 à la cinquième. Des combats tous les 3 pas si on s'aventure dans les hautes herbes adéquates, une augmentation d'expérience à chaque adversaire mis K.O., des capacités nouvelles apprises au fur et à mesure de l'augmentation... et voilà un RPG (pour ceux qui doutaient que c'en est un...) avec tout ce qu'il faut pour nous faire passer des heures à chouchouter son équipe de 6 monstres qui nous permettra de devenir, et c'est quand même ça le but, le meilleur dresseur de Pokémon du monde. Et l'idée de génie dans tout ça, qui fait toute la différence, commencer l'aventure avec des animaux de compagnie, pour la plus part capturable à l'état sauvage avec la fameuse pokéball (ça aussi c'est du génie), petits, mignons, gentils, et d'avoir la surprise au détour d'un niveau 16, ou 22, ou 45 de les voir devenir des machines de guerre, féroces, puissantes et... un peu plus moches, et ça, ça donne envie dans voir plus, plutôt que de se trimbaler du début à la fin du jeu un perso qui bouge pas d'un pouce (Bon d'accord il change d'arme... et alors !!!)
     Tout ça pour dire que même si ce n'est pas le meilleur jeu du monde, même s'il a des défauts (graphisme, combats répétitifs, scénario répétitif au bout de 5 générations...), Pokémon est un jeu devenu culte, simplement grâce à une pléthore de mignonnes bestioles (enfin y'en a des moches aussi... Grotadmorv...), qui donne envie de toutes les capturer, de toutes les voir aller au combat, de toutes les faire grandir et évoluer, de tout connaitre de leurs capacités, de se balader dans la nature avec, de partir en vacances avec, de les échanger avec ses copains, de dormir avec, de manger avec, de lancer une "ball" sur son chien en croyant avoir trouvé un caninos... Oups je m'emporte un peu... Bref, Pokémon c'est chouette et c'est pas pour les mauviettes !!!
     En bonus je vous donne la liste de ma petite équipe favorite, vous irez voir vous même à quoi ils ressemblent si ça vous intéresse : Pharamp, Lokhlass, Libegon, Gardevoir, Démolosse, Lucario.

jeudi 9 février 2012

The Legend of Zelda : The Skyward Sword

     On l'aura attendu ce Zelda (moi encore plus l'ayant reçu 1 journée en retard... grumbl grumbl...) exclusif à la Wii, et "Wii" Twillight Princess est sortie aussi sur Gamecube. Alors ce jeu d'action-aventure que vaut-il d'après moi ? Commençons par 2 ou 3 brins de scénario. Link est apprentie chevalier sur l'ile flottante (non, y'a pas de crème anglaise...) de Célesbourg. Zelda, qui n'est pas vraiment une princesse ici mais la fille du chef de l'ile, disparait sous les nuages où personne n'a jamais mis les pied, Link part la sauver accompagné d'une "nouvelle" épée et de l'esprit la possédant, Fay, et de sa monture ailée, un célestrier vermeil ! Sous les nuages, Link rencontre l’empereur Ghirahim, empereur du monde sous les nuages, qui ne cessera de lui mettre des bâtons dans les roues (et vise versa...) pour sauver Zelda, qui ne sera pas seule, mais guidé dans sa propre quête par une jeune femme qui ne sera pas inconnu des fidèles de la série. Sous les nuages, pas d'humain, ou d'elfe, ou d'hylien, (comme vous préférez) mais des créatures, plus ou moins intelligentes et plus ou moins sympathiques. Voilà pour le scénario, qui même s'il semble assez simple, peut nous surprendre par quelques détours de l'histoire et l'évolution des personnages.
Célesbourg
     Le monde de ce Zelda est donc repartie entre 4 grandes zones, le ciel, une forêt, un volcan et un désert. On ne cessera de faire des allés et retour entre ces zones pour continuer l'aventure et chaque passage avec un nouvel objet glané dans un temple nous permet d'y découvrir de nouveaux chemins, à l'instar des autres Zelda. Les 3 zones sous les nuages sont très différentes, très agréable à visiter et à l'environnement riche, on ne peut pas en dire autant du ciel. Mise à part Célesbourg, petit village fort charmant où on ne manquera pas de passer beaucoup de temps, pour l'histoire et pour y découvrir un max de secret et y faire des rencontres étranges (retenons un certain démon pas très satisfait de sa condition), le ciel est un peu vide... Quelques ilots plus ou moins intéressants, un pub en forme de citrouille où l'on peut y faire quelques épreuves et quêtes, un jeu de chute libre sur roulette géante, un jeu de découpe de bambou, une chasse aux insectes, un temple pour apprendre des chants et des trésors posé sur des rochers que l'on fait apparaitre par l'intermédiaire de cube de la déesse (quête annexe assez top, "avec quel objet je vais bien pouvoir l'atteindre celui-là ??? pas grave je reviendrai plus tard... si je m'en souviens...")... et surtout entre chaque ilot des battements d'ailes plus ou moins efficaces et intéressants (on passe son temps à secouer la manette de bas en haut pour nous faire croire qu'on vole avec lui...). En même temps on ne peut pas tout réussir... Le reste est une merveille, la forêt sent bon la sève et le sapin, on ne se lasse pas de courir entre les arbres plus verts que le printemps et de sauter dans l'eau des sources du coin. Le volcan est une belle épreuve à grimper, grimper et re-grimper de différentes façons, et descendre, descendre et re-descendre aussi, le pire c'est qu'on ne se rend même pas compte qu'on est encore dans le même endroit tant les créateurs du jeu ont réussi à renouveler le gameplay de chaque passage dans les zones. Le désert quand à lui m'a moins plus, question de goût artistique, trop de sable, mais il nous laisse une belle surprise quand on y avance et que les choses reprenne un peu de vie et de couleurs, et nous laisse pour moi sur la meilleur idée d'énigme du jeu, avec ses jolies petits cristaux, et son train de la mine (spécial dédicace à Disneyland...). 
Carte du monde (à ne pas trop regarder pour les spoil)
     Parfois on en vient même à ce demander où sera le prochain temple à visiter dans une zone que l'on croyais déjà terminé. Visuellement les choses évoluent aussi au cours de l'aventure, métamorphose du terrain, ou apparition d'ennemis plus malin, épreuves chronométrés dans les mêmes zones de jeu mais bien plus dark, moments de jeu où l'adrénaline grimpe, mais pas non plus totalement insurmontable. Après il faut aussi accroché avec le design très peinture impressionniste choisi par les créateurs. Moi perso, j'adore, c'est beau et sa colle à la wii, qui n'est pas non plus la plus fortiche côté graphisme, pourtant, jolies couleurs, jolies environnements, c'est vivant, y'a des oiseaux, des petits chats (méfiez vous d'eux la nuit...), et cette musique, ce thème principal, cette harpe (enfin elle sert pas à grand chose quand c'est nous qui en jouons dans le jeu, ça vaut pas un Ocarina quoi). C'est un pari très réussi pour renouveler, comme seul Nintendo c'est le faire, une licence qui a 25 ans. Les expressions du visage des perso est très réussi, leur caractère aussi, Zelda est mélancolique à souhait, Link à la niak, Ghirahim est un gros pervers (ramasse ta langue, vilain...), Fay est de bon conseil mais souvent lourdingue (OUI JE SAIS, J'AI PLUS DE PILES !!!) et tout le petit monde de Célesbourg est fort sympathique, sans oublier les nouvelles espèces ajoutés à la série, homme-taupe, petit robot (un peu trop confiant en lui pour l'un d'eux), clan de bestiole à bourgeon et autre méduses-poulpes, tous on leur caractère bien définis et c'est agréable de passer du temps à parler à ce petit et faire les quêtes qu'ils nous demandent d’accomplir. 
Link se tape le sale boulot
      Pour ce qui est de Link, cette fois il répond au doigt et à l’œil avec le WiiMotion plus (fourni dans l'édition collector), même si quand mon coup d'épée doit aller de bas en haut et que ma main est déjà en haut on risque fort de faire un coup de haut en bas et rater son coup de bas en haut, d'où retour de manivelle en pleine face durant les combat... et puis il est un peu ridicule quand il court avec son épée à la main... mais ce ne sont que des détails auxquels on finie par s'habituer, comme sa jauge d'endurance qui le font sprinter et grimper au mur comme jamais... Notre héros se retrouve encore une fois avec une bien belle panoplie d'objet qui lui serviront tout au long de l'aventure, et ça c'est bien (parce que le lance-pierre des écureuils quand on a un boomerang ou un arc et bien c'est pas bien bien utile des fois...). Et le must et ça c'est vraiment chouette, on peu les customiser !!! Super mon scarabée volant vole plus vite, peut porter des trucs, devient tout dorée, ma potion de vie me soigne plus, mon filet à papillon est 2 fois plus gros je ne vais plus la louper cette sal...pe de sauterelle !!! tout ça en ramassant des ingrédients dans la nature et sur les ennemis abattus, on galère pas trop pour les augmenter au max, mais c'est pas grave, bien au contraire, on a plus vite un bien beau bouclier qui va plus se casser avec trois coups dans la tronche !!! En plus de la panoplie d'aventurier habituel, Link a pour une fois un nombre d'emplacement limité pour ranger divers accessoires, comme les potions et autres bouteilles contenant fées et liquides colorés, et des médailles octroyant divers bonus comme avoir un cœur en plus (comment ça, y'a pas que les fragments de cœur à trouver !!!). Comme nouveauté, ce n'est pas la plus adapté pour un Zelda, on se retrouve à choisir de toute façon, sur les 8 emplacements possible à la fin du jeu, un bouclier (AH BON !!!) au moins 2 ou 3 bouteilles de potions, les médailles cœur, il reste pas la place pour beaucoup d'autre choix, mais bon ça rallonge la durée de vie !!!
A la prochaine Ghirahim !!!
     Je voudrais en dire tellement plus encore, sur le scénario, sur le monde, mais le risque serait d'en dire trop... Mais j'aimerais tout de même dire ici un de mes regrets par rapport aux boss, malheureusement ceux-ci ne sont pas des plus charismatiques (sauf le petit Ghirahim et heureusement qu'il est là et respire la folie meurtrière), et même on se retrouve à devoir en battre certains plusieurs fois (avec quelque changement de gameplay tout de même) et ça déçoit quand on est déjà entrain d'imaginer ce que pourrait être le prochain gros vilain boss... Pour ce qui est du boss de fin et là je prends des pincette pour pas trop en dire, et ben on sait pas trop d'où il vient... même si on il est très chouette visuellement, il arrive comme un cheveux sur la soupe... Par contre la fin du jeu est top et nous ouvre tellement sur les autres aventures, on pourrait presque en verser une larmichette et vouloir encore et encore partager ça avec Link, Zelda et Fay... Et bien faites le parce que quand on a finie le jeu une fois on peut le refaire en New Game +, la difficulté relevé d'un cran et aucune possibilité de trouver des cœurs dans la nature. Par contre moi j'ai réussi comme un boulet à enregistrer ma fin de partie sur ma sauvegarde de jeu et tout perdre... Zut je vais devoir le refaire et repasser 40h au moins a sauver une princesse...

mercredi 8 février 2012

Les jeux vidéo pour les nuls... Les noob quoi !!!

     Parce qu'on est pas tous tombé dedans quand on était petit, parce que pour certains FPS est la Formation aux Premiers Secours, il faut parfois savoir expliquer certaine chose du monde des jeux vidéo. Il existe une très grande quantité de genres de jeux vidéo, tous ne ressemblent pas à Mario ou à Tetris, tous ne se jouent avec les même "instruments", consoles ou ordinateurs, alors pour faire simple prenons les grandes catégories et expliquons les :

     - Le jeu de plate-forme : Pour n'en citer qu'un, Mario (et oui encore lui...) comme son nom l'indique, des plates-formes, sur lesquelles un personnage va avancer pour atteindre l'arrivé du parcours, en sautant, en courant, en nageant, en grimpant, en évitant les ennemis et les embuches... Le tout en 2D ou en 3D.
Super Mario 64
Sonic The Hedgehog
     - Le jeu de rôle ou RPG (Role Playing Game) : En gros on commence ce genre de jeux en étant un pauvre gars sans pouvoir pour finir 80h plus tard comme le sauveur de la planète (pas forcément la Terre, voir jamais...) avec des capacités dépassant l'entendement. Et pour se faire on sera passer par diverses épreuves et combats (qui y sont d'une grande importance pour continuer l'aventure) contre des vilains qui une fois mort nous donnerons des points d'expériences pour devenir plus fort et tuer des vilains encore plus vilain, augmenter sa vie, sa force, sa magie... Le RPG est un genre de jeu dans lequel le scénario prend une grande importance, souvent proche d'une quête initiatique (tiens et si je devenais maître pokémon pour déjouer les plans des méchants), avec un fort potentiel d’identification aux personnages. Souvent lié au monde de l'héroic fantasy comme avec les célèbre Final Fantasy, il se décline cependant dans plein de milieux différent, comme dans l'espace avec la série des Mass Effect. Mon type de jeu favori...
Mass Effect 2
Final Fantasy 7





     - Le FPS ou le First-Person Shooter : Simplement, jeu de tir à la première personne, dans tous les contextes où l'on peut avoir une arme (à feu) dans les mains et avancé en tuant les ennemis, guerres réelles ou inventées, invasion de monstres ou zombies, dans une ville plus ou moins célèbre ou dans l'espace.
Call of Duty 4
Doom












     - Le jeu de stratégie : Aaaaaah créer une civilisation d'un simple clique, faire avancer ses unités, aller zigouyer l'armée adverse, et surtout passer des heure devant son écran d'ordi. Mais tout ça n'est pas une mince affaire, il en faut du temps, de l'énergie et des ressources à collecter pour pouvoir se faire sa petite armée qui deviendra maitre de la map.
Starcraft 2
Age of Empire 3












     - Le jeu d'action et d'aventure : Pourquoi mettre les 2 dans le même panier, et bien parce que dans l'action y'a de l'aventure et dans l'aventure y'a de l'action... Comment le résumé ? Et bien, découvrir un monde, trouver des objets qui nous font aller toujours plus loin, toujours plus fort, toujours plus vite, et encore des ennemis à abattre, le tout souvent à la troisième personne, c'est à dire la caméra dans le dos. C'est tout aussi compliqué de choisir dans tous ces jeux 2 illustrations... Zelda, Metroid, Castlevania, Tomb Raider et tous ces jeux fait avec le reste de sous des producteurs de film...
Assassin's creed
Okami












     - Le Point and Click : Principalement fait pour l'ordinateur et la souris, le Point and Click est un jeu surtout de réflexion, une aventure où pour avancer il est indispensable de faire marcher ses méninges en "clickant" au bon endroit, au bon moment, avec le bon objet pour résoudre les énigmes sur le chemin du héros, le tout enrobé d'un scénario prétextant au bon déroulement des mystères du jeu.
The Secret of Monkey Island
Riven










     - Le jeu de combat : Alors là y'a pas plus simple, 2 combattants, qui sera le plus fort. L'intéret, à la différence de tout autres jeux d'aventure ou d'RPG, jouer à plusieurs pour se castagnier la face, en démolissant toutes les touches de sa manette.
Soul Calibur II
Street Fighter 2 turbo


      - Le jeu de course : Encore une fois rien de bien compliqué, des voitures, des motos, des avions, des bateaux, un circuit, des tours de piste, des amis pour jouer et que le meilleur gagne.

Mario Kart : Double Dash
Grand Tourismo 5


      - Le puzzle-game : Jeu de réflexion par excellence, pas de fioriture, il faut un cerveau. Que ça soit pour ranger des briquettes ou résoudre des casses-têtes, le puzzle-game fait rester des heures coller à un écran pour au final... faire souvent la même chose... Ooooooh je vous vois faire non de la tête, combien de parties de solitaire sur Windows 95 ? Surement le genre de jeu le plus présent d'autant plus avec l'explosion des jeux sur smartphone.
Tetris
Programme d'entraînement cérébral














     - Le jeu de sport : Football et compagnie, le jeu de sport c'est comme du vrai sport, mais pour les sportif du dimanche, ceux qui n'ont pas le courage de bougé leurs miches sur un stade ou en salle, mais qui en sont fan quand même. Rendez-vous convivial autour d'un bol de chips, le jeu de sport c'est aussi mieux à plusieurs.
Mario Tennis
Fifa 12









     - Le survival-horror : Entre le jeu d'action à la troisième personne et le FPS, le survival-horror c'est avant tout une ambiance, du noir et de la peur. L'instinct de survie au bord de la manette, il faut souvent y fuir des hordes de zombies ou monstres en tout genre pour ne pas mourir au détour d'un couloir. Que l'on soit armé ou non le survival c'est, ne pas foncer dans le tas tête baisser et survivre avant tout.
Resident Evil
Project-zero












     Pour finir il existe bien évidemment tout ce que l'imagination des créateurs de jeu permet de faire et que l'on ne peut pas encore expliquer ici. Et puis tous les jeux qui n'hésitent pas à faire tous les mélanges de genre possible, les RPG-action comme Kingdom Hearts, les puzzle-aventure comme le Professeur Layton.
     Un tel tour d'horizon semble finalement si peu face à tout l'univers du jeu, mais semble être un bon début pour comprendre ce que je vais faire sur ce blog, décrire du mieux que je peux mes ressenties sur tous ces types de jeux que je viens de présenter.