vendredi 17 février 2012

Allez voter le 22 Avril...

     Comment parler de jeu vidéo et d'élection présidentielle me direz-vous ??? Et bien c'était sans compter sur le jeu PC Elysée 2012, qui fera date dans le monde du jeu vidéo, surtout pour ses imitations de candidat (Marine Le Pen est plus vrai que nature et si elle pouvait rester virtuelle et plus nous emmerd...) et nous retiendrons surtout les faux noms donnés aux candidats... En 2012, votez bien, votez Laurent Norvège...

mardi 14 février 2012

Demo de Mass Effect 3

     Hier soir, c'est avec une grande surprise que j'ai découvert que depuis le 10 février nous pouvions "gagner" la démo du prochain Mass Effect (Démo dispo à tous à partir d'aujourd'hui de toute façon... alors à quoi bon mettre un lien...). Tout ça pour dire que j'ai, après 45 minutes de téléchargement, pu gouter à Mass Effect 3 et son emblématique commandant Shepard, qui soit dit en passant peut être entièrement modifier au niveau physique (mais bon moi je préfère le VRAI).
     Que se passe-t-il dans cette démo ? Tout commence par un choix, choisir si l'on souhaite foncer dans l'action ou justement prendre un peu de temps pour modifier notre commandant. On lui choisie aussi une classe, qui déterminera ses capacités futures, et ça on aime (enfin moi j'aime), un soldat, un biotique aux pouvoirs psychiques, un technologue, ou un mélange des genres. Une fois déterminé, on fonce dans le vif du sujet. 
     Tout débute par un peu de blabla, et je ne rentre pas dans les détails pour laisser du suspens à ceux qui en veulent. Graphiquement, le jeu tiens la route, les personnages sont modélisés comme dans Mass Effect 2, on a fait plus beau depuis (Final Fantasy XIII-2 par exemple cartonne à ce niveau), c'est un peu rigide au niveau du visage, ça fait un peu robot, mais par contre rien à dire au niveau des mouvements et déplacements. 
     Dés que l'action commence, j'ai appuyé sur la touche start pour accéder au menu. On retrouve le menu circulaire de base de la série, avec, et c'est ça qui m'intéresse, l'onglet commando, permettant de voir et modifier ses capacités. J'ai choisi pour ma partie en démo, le porte-étendard, mélange de soldat et de biotique. On retrouve un système d’augmentation des capacités par points accumulés lors des changements de niveau, c'est simple et efficace, on ne demande pas plus pour un RPG-action comme Mass Effect. Dans cet opus chaque capacité ouvre une petite arborescence (2 choix, c'est pas non plus un baobab...), chaque branche privilégie une des caractéristiques de la capacité. Comme dans le 2, beaucoup moins de "briques", mais chacune d'elles ont un coût qui augmente à chaque niveau de la capacité. On passe donc moins de temps à répartir ses points et c'est bien, on retourne plus vite à la castagne.
     Mass Effect c'est avant tout un jeu d'action, mais au très fortes tendances RPG, dans l'augmentation de compétences de perso, mais aussi dans les phases de dialogue qui pousse le joueur à toujours peser le bien et le mal de ses interventions et de ses actions. Quand on pense que toutes les actions du premier et du deuxième jeu (quand on garde bien ses sauvegardes...) auront une influence sur la suite, on imagine à quel point le nombre de combinaison de résolution de point de scénario est astronomique... Avez-vous tué ou nom la reine Rachnis, avez-vous sauvé le conseil de la citadelle, avez-vous laissé mourir des compagnons et lesquels, avez-vous eu une histoire d'amour... Mass Effect, c'est profond, c'est riche, et sa donne envie d'y rejouer pour tester toutes ses possibilités.
     Revenons à l'action, Shepard à le droit à un petit didacticiel pour apprendre à courir, sauter, se cacher, descendre une échelle, tirer... vous l'aurez compris, on passe vite fait et on avance. Quand les ennuis arrive, on apprend que maintenant Shepard peut foutre des mandales, et ça c'est bien (Zut j'ai plus de munitions... comment faire mal aux méchants... tiens un coup de crosse...). Mais bon on se retourve quand même plus souvent à utiliser les belles armes du future que nous propose le jeu, même si je n'ai pas pu dans la démo en voir beaucoup, je pense que l'on pourra encore en avoir une belle panoplie, plus ou moins puissante, plus ou moins tactique, et plus ou moins adapté à la classe que l'on aura choisi et qu'on pourra customiser dans cet opus. Durant la démo, on a le droit à de bien belle animation des environnements, c'est chouette, un peu austère (comme souvent dans Mass Effect), mais on est content de voir les grosses bébêtes au loin qui bougent. Et puis ça explose de partout par moment et on tombe, on glisse, on se retrouve on  ne sait plus trop où... c'est du ciné quoi !!!
     La démo est composée de 2 parties, je pense que la première correspond aux premières minutes du jeu, et la deuxième une mission arrivant après quelques heures de jeu. Pour ne rien dire du scénario, je dirais simplement qu'on est plus que content de retrouver de vieux compères qui nous avaient quittés lors du deuxième épisode. Plaisir aussi de pouvoir re-tripatouiller leurs compétences, on nous laisse au début de cette deuxième partie avec 23 points à répartir pour Shepard et 12 à nos équipiers. 
     
     Ce qu'on attend du jeu qui sortira le 8 mars, c'est savoir ce que chacun de nos potes sont devenus, pouvoir se refaire une bien belle équipe avec Liara, Wrex, Jack, Mordin, Miranda... bref toute la clique et tous les nouveaux que l'on espère aussi charismatiques et à l'histoire aussi réussis que pour les vétérans. On attend aussi de sauver l'univers, encore une fois, mais cette fois en ayant littéralement les pieds sur Terre et plus uniquement au confins de l'univers, connaitre les intentions du conseil, de cerberus et des moissonneurs... 


lundi 13 février 2012

Kingdom Hearts 3D

     Si comme moi vous adulez la saga des Kingdom Hearts, il est tant de vous mettre au courant de la prochaine sortie du tout nouveau jeu de la série, Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance. Après être passé sur PS2, GBA, DS, PSP, notre ami Sora, héros des aventures entre le monde de Final Fantasy et de Disney, débarque sur 3DS, on l'espère pour le plus grand plaisir de nos mirettes et de nos doigts frétillants. Rien de plus simple, pour en avoir un avant goût, que des petites vidéos.



     Ayant passé des heures à me promener avec Sora et compagnie dans différents mondes inspirés des univers de Disney, il est agréable de retrouver un jeu aux environnements originaux, car ce que j'aime dans Kingdom Hearts, mis à part un dynamisme des combats et d'évolution des personnages et capacités, c'est les interactions avec l'univers de Disney et de ses personnages emblématiques. Dans certains opus (GameBoy advance et Nintendo DS) il est vrai, l'impression de déjà vu de certains lieux a empêché ceux-ci de marquer les esprits comme Kingdom Hearts 1 et 2 sur PS2 ou Birth by Sleep sur PSP avaient pu le faire, ceux-ci avec un scénario bien plus profond et Dark qu'on le croit pour un jeu qui puise son inspiration dans l'univers magique de Disney. Là on sait en tout cas déjà que certains mondes inédits seront de la partie, comme Notre-Dame et son bossu, la fête foraine de Pinocchio, l'atelier de magicien de l'apprenti sorcier... De bien beaux espoirs naissent en moi à l'évocation de ces nouveautés et de l'idée de partir encore une fois à leur découverte et la découverte d'un gameplay toujours aussi riche et renouvelé. Petit bémol, il me semble que dans cet épisode, point de Donald et de Dingo à nos côtés pour nous aider... Et Sora sans ses précieux acolyte gardera-t-il autant d’intérêt ??? Même si pour la (véritable) première fois, nous serons aux commandes du très charismatique Riku, meilleur ami de notre héros, espérons que Dream Drop Distance soit une très belle Disney surprise, en 3D s'il vous plait !!!

vendredi 10 février 2012

Un jour je serai le meilleur dresseur...

     1999, un début d'année en seconde comme les autres quand en Octobre, le 8 exactement,voit le jour en France le tout premier jeu Pokémon. La fin du millénaire prend une tout autre envergure. Ils étaient des monstres de poche déjà bien connu au Japon et aux Stats, et il n'a pas fallu attendre longtemps pour comprendre que c'était une mine d'or et en faire une licence au merchandising surdéveloppé. On retiendra surtout le dessin animé et la naissance d'une icône (non, pas Psykokwak, quoi que), un certain Pikachu.
     Ni une ni deux, je me procure le dit Pokémon Bleu, acheté par mon frère à la Fnac de Rennes et envoyé par la poste dans le trou du c...l du monde, attente interminable pour poser mes mimines fébriles sur les boutons A et B de ma GameBoy (version Tank... s'il vous plait...). Mais comment en avoir eu connaissance ??? Et bien souvenez-vous... Repartez 13 ans en arrière... Si vous passiez comme moi votre temps libre entre le journal de Mickey, Picsou magazine et autres journaux jeunesses, il n'y avait d'yeux que pour eux. 3 ans que ça faisait un carton au pays du soleil levant, ça laisse du temps pour préparer leur arrivé dans le vieux monde !!! On en a bouffer en salade et en purée du Pokémon... et sur moi comme sur beaucoup, ça a eu l'effet voulu. Avec des pages et des pages dédier à leurs tronches, leurs caractéristiques, leurs attaques, leurs types, leurs nombres... Bref un carnage marketing dans mon esprit, et dieu sait que ça ne fonctionne pas vraiment sur moi normalement (j'ai même pas d'Iphone...). Et bien j'ai finis par tous les connaitre avant même de toucher au jeu et vouloir tous les attraper, comme ils disaient et continuent à nous dire.
     On en finit presque par oublier que Pokémon c'est un RPG drôlement bien ficeler. On pense à un jeu pour les petits nenfants, c'est pas faux, parce qu'ils sont tout mimi, que l'histoire est gentil, au fond les méchants sont pas si méchants, ils tuent pas les gens... Bref, c'est quand même faux aussi !!! Il ne faut pas oublier que le système de jeu est basé sur un pierre/feuille/ciseaux comptant pas moins de 15 (puis 17 par la suite) pierres, feuilles et ciseaux en sachant qu'ils peuvent en plus se combiner en doubles types, imaginez des pierre/ciseaux ou des pierre/feuille ou encore des feuille/ciseaux... Vous avez compris le coup ? Ça complique les choses, faut pas tomber dans le piège de "Zuuuut, tous mes Poké(t)Mon(ster) sont faibles face au type eau..."
     Et après comme dans tout bon RPG qui se respecte, vas y que j'ai des points de vie, des points d'attaque, de défense, de vitesse, différents pour toutes les bêtes de poche, du coup Pokémon devient le RPG qui compte le plus de personnage jouable pour faire son équipe, et je ai passé du temps à choisir ma petite équipe adorée (enfin mes petites équipes, avec à peu près 52 parties différentes)... On a commencé avec 150 (151) dans la première génération pour en être de nos jour à 649 à la cinquième. Des combats tous les 3 pas si on s'aventure dans les hautes herbes adéquates, une augmentation d'expérience à chaque adversaire mis K.O., des capacités nouvelles apprises au fur et à mesure de l'augmentation... et voilà un RPG (pour ceux qui doutaient que c'en est un...) avec tout ce qu'il faut pour nous faire passer des heures à chouchouter son équipe de 6 monstres qui nous permettra de devenir, et c'est quand même ça le but, le meilleur dresseur de Pokémon du monde. Et l'idée de génie dans tout ça, qui fait toute la différence, commencer l'aventure avec des animaux de compagnie, pour la plus part capturable à l'état sauvage avec la fameuse pokéball (ça aussi c'est du génie), petits, mignons, gentils, et d'avoir la surprise au détour d'un niveau 16, ou 22, ou 45 de les voir devenir des machines de guerre, féroces, puissantes et... un peu plus moches, et ça, ça donne envie dans voir plus, plutôt que de se trimbaler du début à la fin du jeu un perso qui bouge pas d'un pouce (Bon d'accord il change d'arme... et alors !!!)
     Tout ça pour dire que même si ce n'est pas le meilleur jeu du monde, même s'il a des défauts (graphisme, combats répétitifs, scénario répétitif au bout de 5 générations...), Pokémon est un jeu devenu culte, simplement grâce à une pléthore de mignonnes bestioles (enfin y'en a des moches aussi... Grotadmorv...), qui donne envie de toutes les capturer, de toutes les voir aller au combat, de toutes les faire grandir et évoluer, de tout connaitre de leurs capacités, de se balader dans la nature avec, de partir en vacances avec, de les échanger avec ses copains, de dormir avec, de manger avec, de lancer une "ball" sur son chien en croyant avoir trouvé un caninos... Oups je m'emporte un peu... Bref, Pokémon c'est chouette et c'est pas pour les mauviettes !!!
     En bonus je vous donne la liste de ma petite équipe favorite, vous irez voir vous même à quoi ils ressemblent si ça vous intéresse : Pharamp, Lokhlass, Libegon, Gardevoir, Démolosse, Lucario.

jeudi 9 février 2012

The Legend of Zelda : The Skyward Sword

     On l'aura attendu ce Zelda (moi encore plus l'ayant reçu 1 journée en retard... grumbl grumbl...) exclusif à la Wii, et "Wii" Twillight Princess est sortie aussi sur Gamecube. Alors ce jeu d'action-aventure que vaut-il d'après moi ? Commençons par 2 ou 3 brins de scénario. Link est apprentie chevalier sur l'ile flottante (non, y'a pas de crème anglaise...) de Célesbourg. Zelda, qui n'est pas vraiment une princesse ici mais la fille du chef de l'ile, disparait sous les nuages où personne n'a jamais mis les pied, Link part la sauver accompagné d'une "nouvelle" épée et de l'esprit la possédant, Fay, et de sa monture ailée, un célestrier vermeil ! Sous les nuages, Link rencontre l’empereur Ghirahim, empereur du monde sous les nuages, qui ne cessera de lui mettre des bâtons dans les roues (et vise versa...) pour sauver Zelda, qui ne sera pas seule, mais guidé dans sa propre quête par une jeune femme qui ne sera pas inconnu des fidèles de la série. Sous les nuages, pas d'humain, ou d'elfe, ou d'hylien, (comme vous préférez) mais des créatures, plus ou moins intelligentes et plus ou moins sympathiques. Voilà pour le scénario, qui même s'il semble assez simple, peut nous surprendre par quelques détours de l'histoire et l'évolution des personnages.
Célesbourg
     Le monde de ce Zelda est donc repartie entre 4 grandes zones, le ciel, une forêt, un volcan et un désert. On ne cessera de faire des allés et retour entre ces zones pour continuer l'aventure et chaque passage avec un nouvel objet glané dans un temple nous permet d'y découvrir de nouveaux chemins, à l'instar des autres Zelda. Les 3 zones sous les nuages sont très différentes, très agréable à visiter et à l'environnement riche, on ne peut pas en dire autant du ciel. Mise à part Célesbourg, petit village fort charmant où on ne manquera pas de passer beaucoup de temps, pour l'histoire et pour y découvrir un max de secret et y faire des rencontres étranges (retenons un certain démon pas très satisfait de sa condition), le ciel est un peu vide... Quelques ilots plus ou moins intéressants, un pub en forme de citrouille où l'on peut y faire quelques épreuves et quêtes, un jeu de chute libre sur roulette géante, un jeu de découpe de bambou, une chasse aux insectes, un temple pour apprendre des chants et des trésors posé sur des rochers que l'on fait apparaitre par l'intermédiaire de cube de la déesse (quête annexe assez top, "avec quel objet je vais bien pouvoir l'atteindre celui-là ??? pas grave je reviendrai plus tard... si je m'en souviens...")... et surtout entre chaque ilot des battements d'ailes plus ou moins efficaces et intéressants (on passe son temps à secouer la manette de bas en haut pour nous faire croire qu'on vole avec lui...). En même temps on ne peut pas tout réussir... Le reste est une merveille, la forêt sent bon la sève et le sapin, on ne se lasse pas de courir entre les arbres plus verts que le printemps et de sauter dans l'eau des sources du coin. Le volcan est une belle épreuve à grimper, grimper et re-grimper de différentes façons, et descendre, descendre et re-descendre aussi, le pire c'est qu'on ne se rend même pas compte qu'on est encore dans le même endroit tant les créateurs du jeu ont réussi à renouveler le gameplay de chaque passage dans les zones. Le désert quand à lui m'a moins plus, question de goût artistique, trop de sable, mais il nous laisse une belle surprise quand on y avance et que les choses reprenne un peu de vie et de couleurs, et nous laisse pour moi sur la meilleur idée d'énigme du jeu, avec ses jolies petits cristaux, et son train de la mine (spécial dédicace à Disneyland...). 
Carte du monde (à ne pas trop regarder pour les spoil)
     Parfois on en vient même à ce demander où sera le prochain temple à visiter dans une zone que l'on croyais déjà terminé. Visuellement les choses évoluent aussi au cours de l'aventure, métamorphose du terrain, ou apparition d'ennemis plus malin, épreuves chronométrés dans les mêmes zones de jeu mais bien plus dark, moments de jeu où l'adrénaline grimpe, mais pas non plus totalement insurmontable. Après il faut aussi accroché avec le design très peinture impressionniste choisi par les créateurs. Moi perso, j'adore, c'est beau et sa colle à la wii, qui n'est pas non plus la plus fortiche côté graphisme, pourtant, jolies couleurs, jolies environnements, c'est vivant, y'a des oiseaux, des petits chats (méfiez vous d'eux la nuit...), et cette musique, ce thème principal, cette harpe (enfin elle sert pas à grand chose quand c'est nous qui en jouons dans le jeu, ça vaut pas un Ocarina quoi). C'est un pari très réussi pour renouveler, comme seul Nintendo c'est le faire, une licence qui a 25 ans. Les expressions du visage des perso est très réussi, leur caractère aussi, Zelda est mélancolique à souhait, Link à la niak, Ghirahim est un gros pervers (ramasse ta langue, vilain...), Fay est de bon conseil mais souvent lourdingue (OUI JE SAIS, J'AI PLUS DE PILES !!!) et tout le petit monde de Célesbourg est fort sympathique, sans oublier les nouvelles espèces ajoutés à la série, homme-taupe, petit robot (un peu trop confiant en lui pour l'un d'eux), clan de bestiole à bourgeon et autre méduses-poulpes, tous on leur caractère bien définis et c'est agréable de passer du temps à parler à ce petit et faire les quêtes qu'ils nous demandent d’accomplir. 
Link se tape le sale boulot
      Pour ce qui est de Link, cette fois il répond au doigt et à l’œil avec le WiiMotion plus (fourni dans l'édition collector), même si quand mon coup d'épée doit aller de bas en haut et que ma main est déjà en haut on risque fort de faire un coup de haut en bas et rater son coup de bas en haut, d'où retour de manivelle en pleine face durant les combat... et puis il est un peu ridicule quand il court avec son épée à la main... mais ce ne sont que des détails auxquels on finie par s'habituer, comme sa jauge d'endurance qui le font sprinter et grimper au mur comme jamais... Notre héros se retrouve encore une fois avec une bien belle panoplie d'objet qui lui serviront tout au long de l'aventure, et ça c'est bien (parce que le lance-pierre des écureuils quand on a un boomerang ou un arc et bien c'est pas bien bien utile des fois...). Et le must et ça c'est vraiment chouette, on peu les customiser !!! Super mon scarabée volant vole plus vite, peut porter des trucs, devient tout dorée, ma potion de vie me soigne plus, mon filet à papillon est 2 fois plus gros je ne vais plus la louper cette sal...pe de sauterelle !!! tout ça en ramassant des ingrédients dans la nature et sur les ennemis abattus, on galère pas trop pour les augmenter au max, mais c'est pas grave, bien au contraire, on a plus vite un bien beau bouclier qui va plus se casser avec trois coups dans la tronche !!! En plus de la panoplie d'aventurier habituel, Link a pour une fois un nombre d'emplacement limité pour ranger divers accessoires, comme les potions et autres bouteilles contenant fées et liquides colorés, et des médailles octroyant divers bonus comme avoir un cœur en plus (comment ça, y'a pas que les fragments de cœur à trouver !!!). Comme nouveauté, ce n'est pas la plus adapté pour un Zelda, on se retrouve à choisir de toute façon, sur les 8 emplacements possible à la fin du jeu, un bouclier (AH BON !!!) au moins 2 ou 3 bouteilles de potions, les médailles cœur, il reste pas la place pour beaucoup d'autre choix, mais bon ça rallonge la durée de vie !!!
A la prochaine Ghirahim !!!
     Je voudrais en dire tellement plus encore, sur le scénario, sur le monde, mais le risque serait d'en dire trop... Mais j'aimerais tout de même dire ici un de mes regrets par rapport aux boss, malheureusement ceux-ci ne sont pas des plus charismatiques (sauf le petit Ghirahim et heureusement qu'il est là et respire la folie meurtrière), et même on se retrouve à devoir en battre certains plusieurs fois (avec quelque changement de gameplay tout de même) et ça déçoit quand on est déjà entrain d'imaginer ce que pourrait être le prochain gros vilain boss... Pour ce qui est du boss de fin et là je prends des pincette pour pas trop en dire, et ben on sait pas trop d'où il vient... même si on il est très chouette visuellement, il arrive comme un cheveux sur la soupe... Par contre la fin du jeu est top et nous ouvre tellement sur les autres aventures, on pourrait presque en verser une larmichette et vouloir encore et encore partager ça avec Link, Zelda et Fay... Et bien faites le parce que quand on a finie le jeu une fois on peut le refaire en New Game +, la difficulté relevé d'un cran et aucune possibilité de trouver des cœurs dans la nature. Par contre moi j'ai réussi comme un boulet à enregistrer ma fin de partie sur ma sauvegarde de jeu et tout perdre... Zut je vais devoir le refaire et repasser 40h au moins a sauver une princesse...

mercredi 8 février 2012

Les jeux vidéo pour les nuls... Les noob quoi !!!

     Parce qu'on est pas tous tombé dedans quand on était petit, parce que pour certains FPS est la Formation aux Premiers Secours, il faut parfois savoir expliquer certaine chose du monde des jeux vidéo. Il existe une très grande quantité de genres de jeux vidéo, tous ne ressemblent pas à Mario ou à Tetris, tous ne se jouent avec les même "instruments", consoles ou ordinateurs, alors pour faire simple prenons les grandes catégories et expliquons les :

     - Le jeu de plate-forme : Pour n'en citer qu'un, Mario (et oui encore lui...) comme son nom l'indique, des plates-formes, sur lesquelles un personnage va avancer pour atteindre l'arrivé du parcours, en sautant, en courant, en nageant, en grimpant, en évitant les ennemis et les embuches... Le tout en 2D ou en 3D.
Super Mario 64
Sonic The Hedgehog
     - Le jeu de rôle ou RPG (Role Playing Game) : En gros on commence ce genre de jeux en étant un pauvre gars sans pouvoir pour finir 80h plus tard comme le sauveur de la planète (pas forcément la Terre, voir jamais...) avec des capacités dépassant l'entendement. Et pour se faire on sera passer par diverses épreuves et combats (qui y sont d'une grande importance pour continuer l'aventure) contre des vilains qui une fois mort nous donnerons des points d'expériences pour devenir plus fort et tuer des vilains encore plus vilain, augmenter sa vie, sa force, sa magie... Le RPG est un genre de jeu dans lequel le scénario prend une grande importance, souvent proche d'une quête initiatique (tiens et si je devenais maître pokémon pour déjouer les plans des méchants), avec un fort potentiel d’identification aux personnages. Souvent lié au monde de l'héroic fantasy comme avec les célèbre Final Fantasy, il se décline cependant dans plein de milieux différent, comme dans l'espace avec la série des Mass Effect. Mon type de jeu favori...
Mass Effect 2
Final Fantasy 7





     - Le FPS ou le First-Person Shooter : Simplement, jeu de tir à la première personne, dans tous les contextes où l'on peut avoir une arme (à feu) dans les mains et avancé en tuant les ennemis, guerres réelles ou inventées, invasion de monstres ou zombies, dans une ville plus ou moins célèbre ou dans l'espace.
Call of Duty 4
Doom












     - Le jeu de stratégie : Aaaaaah créer une civilisation d'un simple clique, faire avancer ses unités, aller zigouyer l'armée adverse, et surtout passer des heure devant son écran d'ordi. Mais tout ça n'est pas une mince affaire, il en faut du temps, de l'énergie et des ressources à collecter pour pouvoir se faire sa petite armée qui deviendra maitre de la map.
Starcraft 2
Age of Empire 3












     - Le jeu d'action et d'aventure : Pourquoi mettre les 2 dans le même panier, et bien parce que dans l'action y'a de l'aventure et dans l'aventure y'a de l'action... Comment le résumé ? Et bien, découvrir un monde, trouver des objets qui nous font aller toujours plus loin, toujours plus fort, toujours plus vite, et encore des ennemis à abattre, le tout souvent à la troisième personne, c'est à dire la caméra dans le dos. C'est tout aussi compliqué de choisir dans tous ces jeux 2 illustrations... Zelda, Metroid, Castlevania, Tomb Raider et tous ces jeux fait avec le reste de sous des producteurs de film...
Assassin's creed
Okami












     - Le Point and Click : Principalement fait pour l'ordinateur et la souris, le Point and Click est un jeu surtout de réflexion, une aventure où pour avancer il est indispensable de faire marcher ses méninges en "clickant" au bon endroit, au bon moment, avec le bon objet pour résoudre les énigmes sur le chemin du héros, le tout enrobé d'un scénario prétextant au bon déroulement des mystères du jeu.
The Secret of Monkey Island
Riven










     - Le jeu de combat : Alors là y'a pas plus simple, 2 combattants, qui sera le plus fort. L'intéret, à la différence de tout autres jeux d'aventure ou d'RPG, jouer à plusieurs pour se castagnier la face, en démolissant toutes les touches de sa manette.
Soul Calibur II
Street Fighter 2 turbo


      - Le jeu de course : Encore une fois rien de bien compliqué, des voitures, des motos, des avions, des bateaux, un circuit, des tours de piste, des amis pour jouer et que le meilleur gagne.

Mario Kart : Double Dash
Grand Tourismo 5


      - Le puzzle-game : Jeu de réflexion par excellence, pas de fioriture, il faut un cerveau. Que ça soit pour ranger des briquettes ou résoudre des casses-têtes, le puzzle-game fait rester des heures coller à un écran pour au final... faire souvent la même chose... Ooooooh je vous vois faire non de la tête, combien de parties de solitaire sur Windows 95 ? Surement le genre de jeu le plus présent d'autant plus avec l'explosion des jeux sur smartphone.
Tetris
Programme d'entraînement cérébral














     - Le jeu de sport : Football et compagnie, le jeu de sport c'est comme du vrai sport, mais pour les sportif du dimanche, ceux qui n'ont pas le courage de bougé leurs miches sur un stade ou en salle, mais qui en sont fan quand même. Rendez-vous convivial autour d'un bol de chips, le jeu de sport c'est aussi mieux à plusieurs.
Mario Tennis
Fifa 12









     - Le survival-horror : Entre le jeu d'action à la troisième personne et le FPS, le survival-horror c'est avant tout une ambiance, du noir et de la peur. L'instinct de survie au bord de la manette, il faut souvent y fuir des hordes de zombies ou monstres en tout genre pour ne pas mourir au détour d'un couloir. Que l'on soit armé ou non le survival c'est, ne pas foncer dans le tas tête baisser et survivre avant tout.
Resident Evil
Project-zero












     Pour finir il existe bien évidemment tout ce que l'imagination des créateurs de jeu permet de faire et que l'on ne peut pas encore expliquer ici. Et puis tous les jeux qui n'hésitent pas à faire tous les mélanges de genre possible, les RPG-action comme Kingdom Hearts, les puzzle-aventure comme le Professeur Layton.
     Un tel tour d'horizon semble finalement si peu face à tout l'univers du jeu, mais semble être un bon début pour comprendre ce que je vais faire sur ce blog, décrire du mieux que je peux mes ressenties sur tous ces types de jeux que je viens de présenter.

Final Fantasy XIII-2

     Mon jeu du moment, est la suite du RPG très controversé Final Fantasy XIII. Je passe les détails de la controverse, mais en gros, trop linéaire, pas de quête annexe, trop basé sur le système de combat... Et bien il y en a à qui ça a plu, et j'en fais partie. Alors, Square Enix, éditeur de ce nouveau jeu, revient ici sur la linéarité en proposant un jeu où l'on voyage d'une zone à une autre dans le temps et dans l'espace, oubliant ainsi les courses dans les tunnels et couloirs de son ainé. Les Zones sont limitées plutôt en grands espaces clos et reliées entre elles par le "cœur de l'histoire", sorte de "map" où l'on décide d'aller et venir dans ces dites zones que l'on débloque au fur et à mesure de l'avancé du scénario.
     Square ne revient pas par contre sur son système de combat dynamique et visuellement très réussi, mais probablement brouillon pour les spectateur extérieur aux jeux, basés sur un système de stratégies, ou jobs, tel qu'attaquant, ravageur (magicien noir) ou soigneur, entre lesquels les héros peuvent switcher durant le combat. On y a aussi la possibilité de capturer des "familiers", en gros les monstres du jeu, qui peuvent nous accompagner dans les combats  et possédant eux aussi un job qui reste le même tout au long de l'aventure à la différence des 2 héros. Loin d'avoir le même pouvoir sur moi qu'un jeu Pokémon dans la capture et l'élevage, l'addiction et la volonté de capturer toutes les bêbêtes du jeu est bel et bien présente, on regrettera qu'au final les créatures font toutes partie d'une quinzaine de grande famille dans lesquelles elles finissent par toutes se ressembler. L'apport, dans cette épisode de la série, de se système de capture est à mes yeux un énorme plus, et le système d'évaluation des bestioles est bien pensé même si relativement simple, celui des personnage principaux demande un peu plus de réflexion pour optimiser au mieux ses héros.
     Pour ce qui est du scénario, on y incarne Serah, sœur de l’héroïne du premier opus, et Noël, chasseur venu du futur pour aider Serah à retrouver sa sœur. Je n'en dirai pas plus ici sur le scénario, mais l'idée de voyage dans le temps et dans différentes zones, permet au scénario d'avancé à un rythme soutenu, d'être riche et à la fois de permettre au joueur de se promener, chasser, capturer et réaliser les quêtes annexes (qui reviennent dans ce jeu) à loisir. Même si je n'ai pas encore fini l'aventure, j'en suis même très loin tant on peut passer du temps à tourner en rond pour avoir ce p...ain de chocobo bleu, Final Fantasy XIII-2 est pour moi une bonne surprise et un jeu que je ne regrette pas d'avoir commencé.

Par quoi commencer...


Il y a toujours une première fois... La mienne, c'était avec la NES, dans le salon de mes parents... Magnifique cadeaux de noël pour toute la famille... Première console de salon de Nintendo... Intégrant le jeu Super Mario Bros. et on l'oublie souvent le jeu Duck Hunt et son chien qui se foutait de nous à chaque échec de tir avec le pistolet fourni avec le jeu... Combien sommes-nous à avoir découvert le monde des jeux vidéo sur cette machine et avec son petit moustachu à salopette ??? Mario Bros. reste et restera une référence du jeu vidéo, son gameplay simple et efficace encore utilisé de nos jour dans les moultes adaptations des jeux Mario et même chez la concurrence. Merci Shigeru Miyamoto de nous avoir donné Mario, Luigi, Peach, Bowser et les Goomba !!!
Bonjour à toutes et à tous, je vais ici essayer de vous faire partager mes goûts, mes impressions, mes souvenirs du monde des jeux vidéo. Les anciens, tout juste sortis, ou à venir, il y en aura pour tout le monde...